Arsenic
30
juil.
2015
Le tortillard apparu
plus vif que l ‘éclair
eut raison de ce grand écart
qu ‘elle tentait de faire vers sa voie
Helas les lignes
jamais ne se rejoignent
mais au loin s éloignent
éternellement équidistantes
cherchent en vain leur sécante
L’Arsenal fatal
de l ‘art se nique
réplique à coups
d 'entrechats électriques
survit au décervelage
sismotherapique de
cet asile pour aliénées
atypiques.
La foudroyée
se consume
d ‘un amour meurtrier
sa flamme a durée limitée
luit juste une nuit et
au petit matin s ‘enfuit....
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